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Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 172, Hamburg, 27. Oktober 1812.

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residence, le general de brigade, M. de Sta-
denrath.

Le meme jour, S. E. le general de divi-
sion et gouverneur jusqu'ici de cette resi-
dence, M. de Durutte, partit pour Varsovie.

S. E., pendant les 6 mois qu'elle a sejourne
dans cette residence, s'est acquis la conside-
ration generale et la vive reconnaissance de
tous les habitans, pour l'exacte discipline de
froupes sous ses ordres.


Nous avons la nouvelle que le general
Reynier, commandant les Saxons, a remporte
de grands avantages sur les Russes pres du
Bug.


Le capitaine Heys, vient d'arriver de De-
troit. Il confirme la facheuse nouvelle que
le general Hull s'est rendu aux Anglais et aux
Indiens; mais il nous apprend ce que nous
etions loin de penser, que cette reddition a
ete honteuse non pour nos troupes, mais pour
le general qui les commandait. Il y a a dire
une verite qui fera fremir d'indignation tout
bon Americain, c'est que si Hull avait investi
Malden, lorsqu'il debarqua pour la premiere
fois dans le Canada, il est certain qu'il s'en
serait rendu maeitre.

Trois ou quatre jours avant la reddition de
Detroit, pendant que les Anglais travaillaient
a leurs batteries, Hull n'a jamais voulu qu'on
tirat un coup de canon sur eux. Les Anglais
et les Indiens ont passe la riviere en plein
jour, sans qu'on ait fait feu sur eux. On eaut
pu les prendre; Hull defendit de tirer. Les
Anglais se deployerent alors, envoyerent un
parlementaire, et Hull a capitule sans resi-
stence.

Cette infame capitulation couvre de honte
ceux qui ont si indignement trahi la confiance
que le gouvernement avait placee en eux.
Mais si nous avons perdu un corps de troupes,
grace a la Providence, nous avons une armee
sur la frontiere; nous combattons pour l'hon-
neur, la vie, la liberte et nous combatterons
en desesperes. Les Anglais ont mis les armes
dans les mains des habitans des forets, et ils
s'en ressentiront les premiers.

Les Anglais, apres avoir pris possession de
Detroit, n'ont point accepte la capitulation,
et les proprietes ont ete pillees.

Nous devons ajouter qu'au moment de la
capitulation de Detroit, les officiers et soldats
se montrerent tellement indignes qu'ils verse-
rent des larmes. Le colonel Miller se voyant
force d'acceder a la reddition, brisa son epee
plutot que de la remettre a l'ennemi.

Le capitaine Hull, debarque mardi de la
fregate la Constitution, a ete recu avec toutes

[Spaltenumbruch]

der hiesigen Residenz, der Kayserl. Französ. Bri-
gade-General, Herr von Stadenrath, zugezogen zu
werden die Ehre hatten.

An demselben Tage reiseten Se. Excellenz der
Kayserl. Französ. Divisions-General und bisherige
Gouverneur hiesiger Residenz, Herr von Durutte,
nach Warschau ab.

Se. Excell. haben sich während ihres 6monat-
lichen Aufenthalts allhier die allgemeine Achtung
und den Dank aller Einwohner für die gehand-
habte gute Disciplin der ihnen untergebenen Trup-
pen erworben.


Wir haben die Nachricht, daß der General
Revnier, welcher die Sachsen commandirt, den
Russen am Bug einen bedeutenden Schaden zuge-
fügt hat.


Capitain Heys ist von Detroit hier angekom-
men. Er bestätigt die widrige Nachricht, daß sich
General Hull den Engländern und Jndianern er-
geben hat; zugleich berichtet er uns, was wir weit
entfernt waren, zu glauben, daß diese Uebergabe
nicht schimpflich für unsre Truppen, sondern für
den General gewesen, der sie commandirte. Man
muß eine Wahrheit anführen, die Unwillen bey je-
dem guten Americaner erregen wird, nämlich die,
daß wenn Hull Malden berennt hätte, als er zu-
erst in Canada landete, er es gewiß genommen
haben würde.

Drey bis vier Tage vor der Uebergabe von De-
troit, während die Engländer an ihren Batterien
arbeiteten, wollte Hull nie zugeben, daß man einen
Schuß auf sie thäte. Die Engländer und Jndianer
giengen bey hellem lichten Tage über den Fluß,
ohne daß man auf sie feuerte. Man hätte sie ge-
fangen nehmen können; Hull verbot, auf sie zu
schießen. Die Engländer breiteten sich nun aus,
sandten einen Parlementair ab, und Hull capitu-
lirte ohne Widerstand.

Diese infame Capitulation bedeckt diejenigen mit
Schande, welche das Zutra[u]en, das die Regierung
in sie setzte, so unwürdig verrathen haben. Wenn
wir aber ein Truppen-Corps verlohren haben, so
haben wir, Dank sey's der Vorsehung, ein Truppen-
Corps an den Gränzen; wir werden für die Ehre,
für das Leben und die Freyheit kämpfen und als
Verzweifelte fechten. Die Engländer haben den
Bewohnern der Wälder Wafsen in die Hände ge-
geben, und sie selbst werden dies zuerst bereuen.

Nachdem die Engländer Detroit in Besitz ge-
nommen, haben sie die Capitulation nicht gehalten
und das Eigenthum geplündert.

Wir müssen noch hinzufügen, daß sich im Augen-
blick der Capitulation von Detroit die Officiers
und Soldaten so erbittert zeigten, daß sie Thränen
vergossen. Da sich der Oberst Miller genöthigt
sah, der Uebergabe beyzutreten, so zerbrach er lie-
ber seinen Degen, als daß er selbigen dem Feinde
übergab.

Capitain Hull, welcher hier am Dienstage von
der Fregatte Constitution ans Land kam, ward mit

[Spaltenumbruch]

résidence, le général de brigade, M. de Sta-
denrath.

Le même jour, S. E. le général de divi-
sion et gouverneur jusqu’ici de cette rési-
dence, M. de Durutte, partit pour Varsovie.

S. E., pendant les 6 mois qu’elle a séjourné
dans cette résidence, s’est acquis la considé-
ration générale et la vive reconnaissance de
tous les habitans, pour l’exacte discipline de
froupes sous ses ordres.


Nous avons la nouvelle que le général
Reynier, commandant les Saxons, a remporté
de grands avantages sur les Russes près du
Bug.


Le capitaine Heys, vient d’arriver de Dé-
troit. Il confirme la fàcheuse nouvelle que
le général Hull s’est rendu aux Anglais et aux
Indiens; mais il nous apprend ce que nous
étions loin de penser, que cette reddition a
été honteuse non pour nos troupes, mais pour
le général qui les commandait. Il y a à dire
une vérité qui fera frémir d’indignation tout
bon Américain, c’est que si Hull avait investi
Malden, lorsqu’il debarqua pour la première
fois dans le Canada, il est certain qu’il s’en
serait rendu maître.

Trois ou quatre jours avant la reddition de
Dêtroit, pendant que les Anglais travaillaient
à leurs batteries, Hull n’a jamais voulu qu’on
tiràt un coup de canon sur eux. Les Anglais
et les Indiens ont passé la rivière en plein
jour, sans qu’on ait fait feu sur eux. On eût
pu les prendre; Hull défendit de tirer. Les
Anglais se déployèrent alors, envoyèrent un
parlementaire, et Hull a capitulé sans rési-
stence.

Cette infàme capitulatïon couvre de honte
ceux qui ont si indignement trahi la confiance
que le gouvernement avait placée en eux.
Mais si nous avons perdu un corps de troupes,
grace à la Providence, nous avons une armée
sur la frontière; nous combattons pour l’hon-
neur, la vie, la liberté et nous combatterons
en désespérés. Les Anglais ont mis les armes
dans les mains des habitans des forêts, et ils
s’en ressentiront les premiers.

Les Anglais, après avoir pris possession de
Détroit, n’ont point accepté la capitulation,
et les propriétés ont été pillées.

Nous devons ajouter qu’au moment de la
capitulation de Détroit, les officiers et soldats
se montrèrent tellement indignés qu’ils versé-
rent des larmes. Le colonel Miller se voyant
forcé d’accéder à la reddition, brisa son épée
plutôt que de la remettre à l’ennemi.

Le capitaine Hull, débarqué mardi de la
frégate la Constitution, a été reçu avec toutes

[Spaltenumbruch]

der hieſigen Reſidenz, der Kayſerl. Franzoͤſ. Bri-
gade-General, Herr von Stadenrath, zugezogen zu
werden die Ehre hatten.

An demſelben Tage reiſeten Se. Excellenz der
Kayſerl. Franzoͤſ. Diviſions-General und bisherige
Gouverneur hieſiger Reſidenz, Herr von Durutte,
nach Warſchau ab.

Se. Excell. haben ſich waͤhrend ihres 6monat-
lichen Aufenthalts allhier die allgemeine Achtung
und den Dank aller Einwohner fuͤr die gehand-
habte gute Disciplin der ihnen untergebenen Trup-
pen erworben.


Wir haben die Nachricht, daß der General
Revnier, welcher die Sachſen commandirt, den
Ruſſen am Bug einen bedeutenden Schaden zuge-
fuͤgt hat.


Capitain Heys iſt von Detroit hier angekom-
men. Er beſtaͤtigt die widrige Nachricht, daß ſich
General Hull den Englaͤndern und Jndianern er-
geben hat; zugleich berichtet er uns, was wir weit
entfernt waren, zu glauben, daß dieſe Uebergabe
nicht ſchimpflich fuͤr unſre Truppen, ſondern fuͤr
den General geweſen, der ſie commandirte. Man
muß eine Wahrheit anfuͤhren, die Unwillen bey je-
dem guten Americaner erregen wird, naͤmlich die,
daß wenn Hull Malden berennt haͤtte, als er zu-
erſt in Canada landete, er es gewiß genommen
haben wuͤrde.

Drey bis vier Tage vor der Uebergabe von De-
troit, waͤhrend die Englaͤnder an ihren Batterien
arbeiteten, wollte Hull nie zugeben, daß man einen
Schuß auf ſie thaͤte. Die Englaͤnder und Jndianer
giengen bey hellem lichten Tage uͤber den Fluß,
ohne daß man auf ſie feuerte. Man haͤtte ſie ge-
fangen nehmen koͤnnen; Hull verbot, auf ſie zu
ſchießen. Die Englaͤnder breiteten ſich nun aus,
ſandten einen Parlementair ab, und Hull capitu-
lirte ohne Widerſtand.

Dieſe infame Capitulation bedeckt diejenigen mit
Schande, welche das Zutra[u]en, das die Regierung
in ſie ſetzte, ſo unwuͤrdig verrathen haben. Wenn
wir aber ein Truppen-Corps verlohren haben, ſo
haben wir, Dank ſey’s der Vorſehung, ein Truppen-
Corps an den Graͤnzen; wir werden fuͤr die Ehre,
fuͤr das Leben und die Freyheit kaͤmpfen und als
Verzweifelte fechten. Die Englaͤnder haben den
Bewohnern der Waͤlder Wafſen in die Haͤnde ge-
geben, und ſie ſelbſt werden dies zuerſt bereuen.

Nachdem die Englaͤnder Detroit in Beſitz ge-
nommen, haben ſie die Capitulation nicht gehalten
und das Eigenthum gepluͤndert.

Wir muͤſſen noch hinzufuͤgen, daß ſich im Augen-
blick der Capitulation von Detroit die Officiers
und Soldaten ſo erbittert zeigten, daß ſie Thraͤnen
vergoſſen. Da ſich der Oberſt Miller genoͤthigt
ſah, der Uebergabe beyzutreten, ſo zerbrach er lie-
ber ſeinen Degen, als daß er ſelbigen dem Feinde
uͤbergab.

Capitain Hull, welcher hier am Dienſtage von
der Fregatte Conſtitution ans Land kam, ward mit

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[[2]/0002] résidence, le général de brigade, M. de Sta- denrath. Le même jour, S. E. le général de divi- sion et gouverneur jusqu’ici de cette rési- dence, M. de Durutte, partit pour Varsovie. S. E., pendant les 6 mois qu’elle a séjourné dans cette résidence, s’est acquis la considé- ration générale et la vive reconnaissance de tous les habitans, pour l’exacte discipline de froupes sous ses ordres. Varsovie, le 16 Octobre. Nous avons la nouvelle que le général Reynier, commandant les Saxons, a remporté de grands avantages sur les Russes près du Bug. Boston, le 8 Septembre. Le capitaine Heys, vient d’arriver de Dé- troit. Il confirme la fàcheuse nouvelle que le général Hull s’est rendu aux Anglais et aux Indiens; mais il nous apprend ce que nous étions loin de penser, que cette reddition a été honteuse non pour nos troupes, mais pour le général qui les commandait. Il y a à dire une vérité qui fera frémir d’indignation tout bon Américain, c’est que si Hull avait investi Malden, lorsqu’il debarqua pour la première fois dans le Canada, il est certain qu’il s’en serait rendu maître. Trois ou quatre jours avant la reddition de Dêtroit, pendant que les Anglais travaillaient à leurs batteries, Hull n’a jamais voulu qu’on tiràt un coup de canon sur eux. Les Anglais et les Indiens ont passé la rivière en plein jour, sans qu’on ait fait feu sur eux. On eût pu les prendre; Hull défendit de tirer. Les Anglais se déployèrent alors, envoyèrent un parlementaire, et Hull a capitulé sans rési- stence. Cette infàme capitulatïon couvre de honte ceux qui ont si indignement trahi la confiance que le gouvernement avait placée en eux. Mais si nous avons perdu un corps de troupes, grace à la Providence, nous avons une armée sur la frontière; nous combattons pour l’hon- neur, la vie, la liberté et nous combatterons en désespérés. Les Anglais ont mis les armes dans les mains des habitans des forêts, et ils s’en ressentiront les premiers. Les Anglais, après avoir pris possession de Détroit, n’ont point accepté la capitulation, et les propriétés ont été pillées. Nous devons ajouter qu’au moment de la capitulation de Détroit, les officiers et soldats se montrèrent tellement indignés qu’ils versé- rent des larmes. Le colonel Miller se voyant forcé d’accéder à la reddition, brisa son épée plutôt que de la remettre à l’ennemi. Le capitaine Hull, débarqué mardi de la frégate la Constitution, a été reçu avec toutes der hieſigen Reſidenz, der Kayſerl. Franzoͤſ. Bri- gade-General, Herr von Stadenrath, zugezogen zu werden die Ehre hatten. An demſelben Tage reiſeten Se. Excellenz der Kayſerl. Franzoͤſ. Diviſions-General und bisherige Gouverneur hieſiger Reſidenz, Herr von Durutte, nach Warſchau ab. Se. Excell. haben ſich waͤhrend ihres 6monat- lichen Aufenthalts allhier die allgemeine Achtung und den Dank aller Einwohner fuͤr die gehand- habte gute Disciplin der ihnen untergebenen Trup- pen erworben. Warſchau, den 16 October. Wir haben die Nachricht, daß der General Revnier, welcher die Sachſen commandirt, den Ruſſen am Bug einen bedeutenden Schaden zuge- fuͤgt hat. Boſton, den 8 Sept. Capitain Heys iſt von Detroit hier angekom- men. Er beſtaͤtigt die widrige Nachricht, daß ſich General Hull den Englaͤndern und Jndianern er- geben hat; zugleich berichtet er uns, was wir weit entfernt waren, zu glauben, daß dieſe Uebergabe nicht ſchimpflich fuͤr unſre Truppen, ſondern fuͤr den General geweſen, der ſie commandirte. Man muß eine Wahrheit anfuͤhren, die Unwillen bey je- dem guten Americaner erregen wird, naͤmlich die, daß wenn Hull Malden berennt haͤtte, als er zu- erſt in Canada landete, er es gewiß genommen haben wuͤrde. Drey bis vier Tage vor der Uebergabe von De- troit, waͤhrend die Englaͤnder an ihren Batterien arbeiteten, wollte Hull nie zugeben, daß man einen Schuß auf ſie thaͤte. Die Englaͤnder und Jndianer giengen bey hellem lichten Tage uͤber den Fluß, ohne daß man auf ſie feuerte. Man haͤtte ſie ge- fangen nehmen koͤnnen; Hull verbot, auf ſie zu ſchießen. Die Englaͤnder breiteten ſich nun aus, ſandten einen Parlementair ab, und Hull capitu- lirte ohne Widerſtand. Dieſe infame Capitulation bedeckt diejenigen mit Schande, welche das Zutrauen, das die Regierung in ſie ſetzte, ſo unwuͤrdig verrathen haben. Wenn wir aber ein Truppen-Corps verlohren haben, ſo haben wir, Dank ſey’s der Vorſehung, ein Truppen- Corps an den Graͤnzen; wir werden fuͤr die Ehre, fuͤr das Leben und die Freyheit kaͤmpfen und als Verzweifelte fechten. Die Englaͤnder haben den Bewohnern der Waͤlder Wafſen in die Haͤnde ge- geben, und ſie ſelbſt werden dies zuerſt bereuen. Nachdem die Englaͤnder Detroit in Beſitz ge- nommen, haben ſie die Capitulation nicht gehalten und das Eigenthum gepluͤndert. Wir muͤſſen noch hinzufuͤgen, daß ſich im Augen- blick der Capitulation von Detroit die Officiers und Soldaten ſo erbittert zeigten, daß ſie Thraͤnen vergoſſen. Da ſich der Oberſt Miller genoͤthigt ſah, der Uebergabe beyzutreten, ſo zerbrach er lie- ber ſeinen Degen, als daß er ſelbigen dem Feinde uͤbergab. Capitain Hull, welcher hier am Dienſtage von der Fregatte Conſtitution ans Land kam, ward mit

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Britt-Marie Schuster, Manuel Wille, Arnika Lutz: Bereitstellung der Texttranskription. (2014-07-28T10:05:06Z) Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.

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Die Ausgabe enthält französischsprachige Artikel.




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Zitationshilfe: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 172, Hamburg, 27. Oktober 1812, S. [2]. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/hc_1722710_1812/2>, abgerufen am 27.04.2024.